L’humain disparait après avoir reconstitué une faune et une flore artificielle. Une fenêtre, un cadre dont les montants sont constitués de papillons et de feuilles. Une fenêtre qui s’ouvre sur du vide ou presque.
Une photo qui semble un collage, et pourtant, aucun élément n’est collé. Tous les papillons et les feuilles sont différents.
Un mélange de graphisme et de couleur, de vrai, de faux. J’aime cette situation entre réel et irréel, qui montre l’impossibilité de recréer la biodiversité.